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Dans son nouveau rapport sur la migration SEPA, la BCE met en garde contre les risques de migration tardive vers le nouveau système de paiement SEPA. À en croire les médias, cette migration vers la nouvelle norme européenne se déroule, jusqu'ici, au ralenti. De nombreuses entreprises comptent, par exemple, adapter leurs systèmes au cours des mois à venir seulement, certaines même à la dernière minute. Toutefois, cette attitude accroît le risque de pannes techniques et de goulets d'étranglement en matière de liquidités, ce qui serait susceptible d'entraîner des répercussions sur les transactions financières.
L'expert en gestion des données, Holger Stelz au sein d’Uniserv, explique les problèmes auxquels les entreprises vont se trouver confrontées et ce qui constitue désormais, pour elles, les principaux enjeux :
« La saisie correcte des nouvelles données bancaires et les migrations inhérentes du point de vue informatique représentent un investissement en termes de temps et d'argent. Un récent rapport SAP de Steria, élaboré en collaboration avec Edgar, Dunn & Company*, indique que la migration d'une petite compagnie d'assurances, par exemple, nécessite entre 1 000 et 5 000 jours homme. Pour les compagnies plus importantes comptant plusieurs sites, l'effort requis atteint vite 25 000 jours homme. »
« Outre les investissements nécessaires en termes de personnel, l'acquisition des données bancaires mises en conformité représente déjà un véritable défi : les
nouvelles données clients parviennent en effet de différentes façons dans les bases de données : elles peuvent être saisies par les clients eux-mêmes via le Web, par les salariés d'un service externe, par un centre d'appels ou par des prestataires externes. La plupart du temps toutefois, ces données sont saisies de façon incomplète ou erronée. Des erreurs d'orthographe, de lecture, de compréhension ou de frappe alimentent ainsi les bases de données sans faire l'objet d'aucune vérification. Et, la moindre inversion de chiffres entraîne des pertes financières, car non seulement les virements qui n'aboutissent pas génèrent des frais supplémentaires, mais ils se répercutent également de façon négative sur les relations avec les clients et les fournisseurs. »