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C’est en tout début de 2017, lors du Lauréat Innov’up, que le prototype de Myro avait alors été lancé. Créé par l’agence Nokinomo, sous l’impulsion de ses fondateurs Emmanuelle Jourdes et Patrick Simonnet, Myro est un cobot que l’on définit comme un robot extra-ludique.
Présenté tout d’abord lors du Festival du numérique de Futur en Seine à la Grande Halle de la Villette ainsi qu’au Geek’s Live au Carreau du temple à Paris, Myro a continué à faire ce qu’il sait faire de mieux.
Renseigner les égarés, jouer avec les gens, amuser la galerie et faire naître les sourires tout autour de lui. Loin des froides machineries des entreprises, il n’a pas le rôle d’un ouvrier, assistant, ou serviteur. Il n’est pas ici pour travailler pour nous, mais pour jouer avec nous. Une tâche bien plus complexe et primordiale qu’il n’y paraît. Le choix de son patronyme n’est d’ailleurs pas dû au hasard. Joan Miro, peintre espagnol du 20ème siècle, s’était illustré par ses œuvres oniriques, et une approche enfantine, naïve et paisible de l’art.